« Le ciel nocturne et bas s’éblouit de la ville
Et mon cœur bat d’amour à l’unisson des vies Qui animent la ville au-dessous des grands cieux Et l’allument le soir sans étonner nos yeux »…
Guillaume APOLLINAIRE (1880-1918) Extrait du poème: «Nocturne»
Vieux-Québec
Huile sur toile
Raynald Leclerc – Au fil de l’eau